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Les revues prédatrices : comment les reconnaître et les éviter ?
En 2020, la Conférence internationale des Doyens et des Facultés de Médecine d’Expression Française (CIDMEF) — en partenariat avec l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF), le Syndicat de la presse et de l’édition des professions de santé (SPEPS) et le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) — a adapté des travaux de l’université de Toronto, afin de produire une affiche et un dépliant pour sensibiliser les enseignants-chercheurs et chercheurs sur la problématique des revues dites « prédatrices » ou « trompeuses ».
Le CAMES met à votre disposition ces outils de communication, pour vous aider à éviter de publier vos travaux dans une revue prédatrice de faible qualité, qui pourrait nuire à votre réputation et à celle de votre établissement.
Définition
"Les revues et les éditeurs prédateurs sont des entités qui privilégient l’intérêt personnel au détriment de l’érudition et se caractérisent par des informations fausses ou trompeuses, un écart par rapport aux bonnes pratiques rédactionnelles et de publication, un manque de transparence et/ou le recours à des pratiques de sollicitation agressives et sans discernement."
Définition extraite du dépliant
Avertissement
"Une revue prédatrice pourrait acquérir les droits d’auteur pour votre recherche sans jamais la publier, et aussi disparaître sans préavis, éliminant ainsi toute trace publique de votre article publié. Le fait d’être associé à une revue prédatrice pourrait entraîner des pertes financières en raison de frais inappropriés, mais aussi nuire à votre réputation et à celle de votre établissement."
Avertissement extrait du dépliant
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