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La 12e réunion extraordinaire du CCG/CAMES a été une réussite à tout point de vue

06 mars 2023 Actualités
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Le Comité consultatif Général — Instance consultative de pilotage du CAMES — s’est réuni du 27 février au 1er mars 2023 au Centre de conférences internationales de Kintélé, à Brazzaville au Congo, pour examiner les questions académiques et scientifiques à soumettre à la 40e session du Conseil des Ministres, qui se tiendra du 22 au 26 mai 2023 à Niamey (Niger). 

Une cérémonie d’ouverture rehaussée par la présence du Premier Ministre et des Membres du Gouvernement

La cérémonie officielle d’ouverture des travaux a été présidée par le Premier Ministre, Chef du gouvernement, de la République du Congo, Son Excellence Anatole Collinet MAKOSSO, en présence de la Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, Pr Delphine Édith Emmanuel ADOUKI, du Secrétaire Général du CAMES, Pr Souleymane KONATÉ, du Président du CCG, Pr Ahmadou Aly MBAYE, des membres de l’instance et de plusieurs autres membres du gouvernement ainsi que des sommités de l’enseignement supérieur.

« Au nom de la République du Congo, je réaffirme notre engagement aux valeurs que porte et promeut le CAMES. La République du Congo apprécie la contribution notable du CAMES aux progrès scientifiques et économiques des pays membres », a indiqué le Chef du gouvernement congolais.


Au Premier Ministre de poursuivre en rappelant que « la République du Congo s’est fixée comme objectif d’assurer la qualité de son enseignement supérieur et de sa recherche scientifique. Ce qui justifie la décision de la création de l’Agence nationale d’assurance qualité » de l’enseignement supérieur en décembre 2022 ». Il a terminé en sollicitant « l’accompagnement du CAMES en vue de favoriser une meilleure participation de nos universités, Écoles et instituts à un enseignement de qualité ».

 

Quant à la Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, Pr Delphine Édith Emmanuel ADOUKI, elle est revenue sur la volonté du Congo d’améliorer les offres de formation à travers notamment la mise en place d’une Agence nationale d’assurance qualité de l’enseignement supérieur. 

 

Prenant la parole, le Secrétaire Général du CAMES a exprimé, en premier lieu, sa déférente gratitude à Son Excellence Monsieur DENIS SASSOU-NGUESSO, Président de la République du Congo, Chef de l’État, Grand-Croix de l’Ordre International des Palmes Académiques du CAMES, et à son Gouvernement, pour le soutien permanent et inconditionnel apporté au CAMES.

 

« La République du Congo, membre fondateur du CAMES, participe à l’ensemble des programmes statutaires, et fournit d’éminentes personnalités du monde académique qui contribuent activement à l’animation des instances de gouvernance de notre institution commune », a rappelé le Secrétaire Général du CAMES.


Le Pr Souleymane KONATÉ est également revenu sur la vision de la nouvelle équipe dirigeante du Secrétariat général du CAMES.

« Au regard des mutations que connaît le monde en général, et en particulier le domaine de l’Enseignement supérieur et la Recherche, il convient de faire prendre au CAMES, 55 ans après sa création, le pari de répondre de façon efficace et efficiente aux problématiques de développement de l’Afrique et aux attentes de ses États membres », a fait savoir le Secrétaire Général du CAMES.


Tout en rendant hommage à la vision d’indépendance et d’intégration des Pères Fondateurs du CAMES, le Pr Souleymane KONATÉ a rappelé que la vision de la nouvelle équipe dirigeante du Secrétariat général s’inscrit dans la continuité de la tradition du CAMES, tout en ayant l’ambition de faire de notre institution, « la référence internationale en matière d’évaluation scientifique, et un véritable outil d’intégration académique et de développement durable des États membres ». 

 

Prenant la parole à son tour, le Président du CCG, Pr Ahmadou Aly MBAYE, a salué les efforts continus déployés par Madame la Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, Pr Delphine Édith EMMANUEL ADOUKI, pour la modernisation du système d’Enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation du Congo, en ayant une vision axée sur l’assurance qualité.

 

Pour le Président du CCG, la 12e réunion extraordinaire du CCG marque un tournant décisif pour le CAMES qui vient de se doter d’une nouvelle équipe dirigeante. 

 

« Notre assise abordera un ordre du jour axé sur des points d’intérêt liés aux activités des programmes statutaires réalisés, à l’amélioration des outils de gouvernance académique des programmes, au renouvellement des membres de la commission d’éthique et déontologie du CAMES, dont le mandat est arrivé à son terme et au renforcement des compétences des membres du CCG sur certaines plateformes numériques développées par le CAMES », a fait savoir le Pr Ahmadou Aly MBAYE.

Une cérémonie de clôture des plus réussies, témoignant d’un CAMES fort et aimé de ses membres

Les rideaux sont tombés le 1er mars 2023 sur la 12e session extraordinaire du Comité consultatif Général, avec l’adoption de plusieurs avis et recommandations à l’attention du Conseil des Ministres et le renouvellement des membres de la commission d’éthique et de déontologie du CAMES. 

À la clôture de cette session, présidée par Madame la Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, Pr Delphine Édith EMMANUEL ADOUKI, les intervenants ont à l’unanimité salué les conditions d’accueil et la réussite des travaux.

 

« Le CAMES et l’ensemble des participants ont été particulièrement marqués par la qualité de l’accueil qui a été réservé à nos délégations par la République du Congo. Nous avons été très sensibles à l’intérêt et au soutien accordés au CAMES, par les plus hautes autorités de la République du Congo, avec à leur tête Son Excellence Monsieur DENIS SASSOU-NGUESSO, Président de la République du Congo, Chef de l’État, Grand-Croix de l’Ordre International des Palmes Académiques du CAMES. Soutien exprimé solennellement par SEM Monsieur le Premier Ministre, Chef du gouvernement, lors de son allocution à la cérémonie d’ouverture », a fait savoir le Secrétaire Général du CAMES.


S’adressant à Madame la Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, le Secrétaire Général a fait savoir qu’au regard de l’importance que son département ministériel accorde à l’assurance qualité, le Secrétariat général du CAMES sera particulièrement attentif à ses orientations et instructions, pour aider à surmonter les défis liés à une telle politique de changement transformationnel.

 

Le Pr Souleymane KONATÉ a également saisi l’occasion pour lancer un appel pressant à l’ensemble des parties prenantes de l’Enseignement supérieur et de la recherche du Congo, afin qu’elles s’approprient individuellement et collectivement les préceptes de l’assurance qualité.

 

Il a, par ailleurs, invité les experts en qualité formés par le CAMES, au niveau national et international, à intensifier le plaidoyer auprès de leurs pairs pour s’approprier les exigences de la démarche qualité. Il les a exhortés également à organiser davantage de sessions d’informations et formation sur les guides et les référentiels d’évaluation du CAMES, pour une meilleure dissémination.

 

« C’est cela également le service à la communauté, prôné par le CAMES dans le nouveau Guide d’évaluation des enseignants-chercheurs et chercheurs », a-t-il souligné. 


Le Secrétaire Général du CAMES a appelé les membres du CCG à s’impliquer davantage dans le plaidoyer visant la promotion des acquis de notre institution commune, en réfléchissant sur de nouvelles approches de partages d’expérience et de bonnes pratiques entre les différents systèmes d’enseignement supérieur et de recherche de l’espace CAMES.  

 

Le Pr Souleymane KONATÉ a aussi fait savoir que le CCG a procédé au renouvellement des membres de la Commission d’éthique et de déontologie du CAMES, dont le mandat est arrivé à terme. 

 

« Désormais, il est acté que le Secrétaire Général du CAMES n’est plus le président de la Commission d’éthique et déontologie. Néanmoins, il demeure le garant du respect et de l’application stricte des dispositions du Règlement N° 01/2022/CM/CAMES portant Code d’Éthique et de Déontologie du CAMES », dixit le Secrétaire Général du CAMES. 


Concernant les avis et les recommandations fortes émis par le CCG, le Secrétaire Général du CAMES a exhorté les participants à être les porte-voix du CAMES dans leurs pays en assurant une large diffusion des grandes orientations prises à Brazzaville, pour une meilleure appropriation par leurs pairs.

 

Pour le Président du CCG, Pr Ahmadou Aly MBAYE, « les résultats enregistrés attestent de la pertinence de la contribution de cette instance CCG, au fonctionnement du CAMES. “Comme à l’accoutumée, nous avons montré notre capacité à travailler ensemble dans un climat de sérénité et de convivialité sans égal. Ce qui a contribué à la réussite des travaux de cette réunion extraordinaire du Comité Consultatif Général du CAMES”, a fait savoir le Président du CCG.

 

Le Pr Ahmadou Aly MBAYE a profité de l’occasion pour rappeler les acquis de la 12e session extraordinaire du CCG, notamment :

Adoption du rapport du 21e concours d’agrégation de Médecine humaine, pharmacie, Odontostomatologie, Médecine vétérinaire et productions animales. Des recommandations visant à en améliorer le déroulement et la pertinence ont été émises. 


Adoption des recommandations sur le Guide d’évaluation du concours d’agrégation des sciences de la santé Médecine. 

  • Validation des modalités d’organisation en mode hybride des concours d’agrégation du CAMES (Médecine et SJPEG). Le concours SJPEG bénéficiera du retour d’expérience du Concours des Sciences de la santé et pour ce faire, un dispositif pilote sera expérimenté pour la première épreuve de toutes les sections.
  • Validation des résultats de la 37e session du Programme de reconnaissance et d’équivalence des diplômes (PRED) et adoption de ses recommandations.
  • Examen des recours formulés contre des décisions prises au niveau des CTS et du PRED.
  • Mise en place de la nouvelle Commission d’Éthique et Déontologie du CAMES.
    Renforcement des compétences des membres du CCG sur certaines plateformes numériques développées par le CAMES.
  • Validation du dispositif de lancement en mars 2023, à titre pilote, de l’initiative “Reconnaissance et d’indexation des revues et publications scientifiques (RIRP)”, dénommée CODEX, visante à relever le niveau de qualité des revues de l’espace CAMES.
  • Validation du Module d’aide à la Gouvernance des Institutions d’enseignement supérieur (MAGIE), offert par le CAMES, afin d’aider les parties prenantes de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et leurs collaborateurs à affronter la complexité d’exercice de leurs fonctions. Une série de formations sera planifiée en marge des sessions présentielles, mais également à distance.

C’est sur cette note positive qu’ont pris fin les travaux de la 12e session extraordinaire du Comité Consultatif Général du CAMES.

Une leçon inaugurale pleine d’enseignements sur les enjeux de l’assurance qualité dans l’enseignement supérieur

À l’initiative de la Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, Pr Delphine Edith Emmanuel ADOUKI, le CAMES a organisé le 28 février 2023, au Centre de conférences internationales de Kintélé, à Brazzaville, une conférence publique sur l’Assurance qualité dans l’enseignement supérieur.

Cette conférence, offerte à toutes les parties prenantes du système d’enseignement supérieur et de recherche de la République du Congo, a été animée par le Pr Bonaventure MVE-ONDO, avec comme panélistes les professeurs Joseph AKA et Saturnin Enzonga YOCA. 

 

Présidant la cérémonie d’ouverture, la Ministre Delphine Édith Emmanuel ADOUKI a fait savoir que “la tenue de cette conférence est placée sous le signe de dualité. Elle constitue, d’une part, l’expression de la volonté politique de la République du Congo et, d’autre part, elle témoigne de la volonté de transformer son système d’enseignement supérieur”.

 

Pour le Secrétaire Général du CAMES, “en instruisant le CAMES d’organiser cette conférence publique sur une thématique cruciale qu’est l’Assurance qualité, la Ministre Delphine Édith Emmanuel ADOUKI replace le CAMES dans son rôle légitime d’Agence-Conseil auprès de ses États membres”.

 

En effet, le CAMES a pour principale mission “la coordination et l’harmonisation des politiques d’enseignement supérieur et de recherche”. Il joue dans ce sens le rôle d’Agence d’assurance qualité et d’accréditation, pour ses États membres. À cet effet, le CAMES a mis à la disposition des États membres un ensemble d’outils et référentiels qui devraient contribuer à une meilleure attractivité et compétitivité des établissements d’enseignement supérieur et de recherche de son espace, en permettant notamment la construction d’un socle commun de la démarche qualité.

 

L’expertise du CAMES, en matière d’assurance qualité, est montée en puissance à partir de 2022, avec la “Directive relative à l’assurance qualité et à l’accréditation”, adoptée par le Conseil des Ministres, pour harmoniser les pratiques en matière d’assurance qualité et d’accréditation au sein de l’espace CAMES. Ceci dans le respect de la souveraineté des États membres, de l’indépendance et de l’autonomie des structures nationales d’assurance qualité et d’accréditation.

 

Le Pr Souleymane KONATÉ a pleinement remercié le ministère de tutelle d’avoir pensé à cette pratique novatrice que le CAMES va inscrire au rang de ses bonnes pratiques à démultiplier dans la conduite de ses activités statutaires.

 

Il a, par ailleurs, invité toutes les parties prenantes à la conférence à découvrir le répertoire des ressources sur l’assurance qualité produit par le CAMES et à accompagner Madame la Ministre dans la mise en œuvre de sa vision d’implémenter l’assurance qualité au sein des établissements de l’enseignement supérieur et de recherche de la République du Congo.

 

“Osez expérimenter la robustesse des outils qualité du CAMES, pour gagner en compétitivité et en rayonnement international”, a plaidé le Secrétaire Général du CAMES.

Une leçon inaugurale pleine d’enseignements sur les enjeux de l’assurance qualité dans l’enseignement supérieur

« Une immense célébrité du football mondial avait dit ceci, il y a plus de 20 ans : “Les pays africains n’ont pas encore gagné la coupe du monde. Cependant, il y a des Africains qui l’ont gagnée. Il ne s’agit donc pas d’une malédiction ou d’une tare congénitale, mais simplement d’un problème d’organisation”. À cette déclaration, j’ajoute : de mise en place des mécanismes et des moyens d’amélioration de la qualité. Il en est du football comme des universités. 

 

Partout dans le monde, les institutions d’enseignement supérieur et de recherche subissent de fortes pressions pour devenir responsables de leur propre qualité.

 

Partout dans le monde, les institutions d’enseignement supérieur et de recherche subissent de fortes pressions pour devenir responsables de leur propre qualité. Plus que jamais, on leur demande de démontrer à leurs parties prenantes, à leurs partenaires, c’est-à-dire aux étudiants, aux enseignants, mais aussi aux familles, aux gouvernements et aux milieux professionnels que leurs activités de formation et leurs services soient de “qualité”. Si tout le monde semble de prime abord savoir ce qu’il en est de la qualité, en revanche, dès que le mot est lâché et surtout qu’il faut l’appliquer, plus personne ne sait de quoi il s’agit, ni comment la mesurer. En effet, il n’existe pas de définition unique et objective de la qualité. Ce que l’on sait cependant, c’est que la qualité, c’est le fait d’atteindre les objectifs et buts qui ne sont pas seulement fixés par l’Université, mais aussi en dialogue avec l’ensemble de ses partenaires, des acteurs et des décideurs. 

 

Lorsque l’on veut discuter des défis de l’assurance qualité dans l’enseignement supérieur, il me semble qu’il faut répondre aux cinq questions ou séries de questions fondamentales que voici :

  • Pourquoi ? Pourquoi doit-on faire de la qualité dans l’enseignement supérieur ? 
    Qu’est-ce que la qualité ? Comment sortir des définitions relatives et partisanes sur la qualité et bâtir le consensus sur la qualité dans l’enseignement supérieur ?
  • Qu’est-ce que l’assurance qualité ? Pourquoi a-t-on opéré un glissement sémantique en passant de l’assurance de la qualité à l’assurance qualité ?
  • Comment asseoir l’assurance qualité dans l’enseignement supérieur et dans les établissements ? Comment et en quel sens la développer pour améliorer les performances et l’efficacité de nos institutions ?
  • Que nous reste-t-il à faire dans nos universités et surtout quelle peut être l’apport du CAMES dans ce processus ? ».

C’est par cette introduction que le Pr Bonaventure MVE-ONDO a débuté sa leçon inaugurale que nous vous invitons de découvrir l’intégralité ci-après : https://www.lecames.org/wp-content/uploads/2023/03/Conference-AQ-MVE-ONDO_web.pdf

Décoration dans l’Ordre international des palmes académiques

En marge de la cérémonie de clôture de la 12e session extraordinaire du CCG, 10 enseignants-chercheurs et chercheurs de la République du Congo ont été reçus dans l’Ordre international des palmes académiques. 

Pourvu des attributs de Commandeur dans l’OIPA/CAMES, Dr Louis BAKABADIO, Conseiller spécial du Président congolais, a pris la parole au nom des récipiendaires. 

 

Grade de Chevalier

 

  1. MOMBO Michel – Alain, Professeur Titulaire (Histoire ancienne), Université Marien N’Gouabi (Congo)
  2. ELENGA Raymond Gentil, Professeur Titulaire en physique, Université Marien N’Gouabi (Congo)
  3. ATIPO IBARA Blaise Irenée, Professeur Titulaire en Hépatologie, Université Marien N’Gouabi (Congo)
  4. LENGA Arsène, Professeur Titulaire en biologie et écologie animales, Université Marien N’Gouabi (Congo)
  5. ONDZOTTO Gontran, Professeur Titulaire en ORL, Université Marien N’Gouabi (Congo).

Grade d’officier

 

  1. ILOKI Léon Hervé, Professeur titulaire de Gynécologie-Obstétrique, Université Marien Ngouabi (Congo)
  2. M’PASSI MABIALA Bernard, Professeur titulaire de Physique, Université Marien Ngouabi, Directeur Général de l’enseignement
    supérieur (Congo)
  3. Monsieur NTSIBA Honoré, Professeur titulaire de Rhumatologie à l’Université Marien Ngouabi, Membre du CTS Médecine et de jury du concours d’agrégation de Médecine.
  4. Monsieur TALIANE Tchibamba Ignace, ancien Directeur de Cabinet du Ministre de l’Enseignement Supérieur du Congo.


Grade de Commandeur

 

Monsieur BAKABADIO Louis, Conseiller du Président de la République du Congo en charge de l’Education.

Extrait : 

 

« Mes collègues récipiendaires et moi-même, sommes sensibles à l’honneur qui nous ai fait d’être reçus dans les grades de l’Ordre international des palmes académiques du CAMES. Nous sommes d’autant plus honorés que l’Institution, qui nous confère ces grades, est celle qui représente d’une part, les Lumières africaines, au sens des encyclopédistes, et d’autre part, le meilleur exemple d’intégration réussie en Afrique.

 

Nous vous assurons de ne ménager aucun effort, pour que le CAMES reste cet excellent et unique instrument de gestion des problématiques de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique des pays membres, à travers ses divers programmes.

 

Pour nous, les grades académiques du CAMES témoignent à eux seuls du savoir et du savoir-faire dans la production, la transmission des connaissances et la recherche scientifique. Et s’il y a un doute en la matière, l’Agence nationale d’assurance qualité est notre bouclier ». 




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